Sur cette page, vous trouverez la plupart des nouvelles du site regroupées par recueil, papier et/ou numérique LES liens renvoient sur calaméo ou le site de vente correspondant À CHAQUE OUVRAGE |
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Dans "Noir à l'Ouest", vous trouverez neuf textes, purement imaginaires ou librement inspirés de la réalité, qui, tous, ont pour théâtre, implicite ou explicite, l'Ouest, depuis les marches de la Bretagne historique, jusqu'aux confins de l'Argoat : - Les Amants du Square Thomas Beckett : une passion dans le Sud-Cotentin. - Adieu, Jean-Marie : quand la vieillesse solitaire est trop lourde à porter. - La Bêcheuse de la Béchue : mortelle rencontre sur les côtes du Goëlo de deux êtres maltraités par la vie. - Le Disparu de la rue du Four : on sait aussi se venger en province. - La Fille de l'Ankou : quand l'imaginaire breton flirte avec la Mort. - Roz Brune : quand la maison familiale revit. - Bouquet garni : une enquête à faire saliver. - Luka : quand une enfant maltraitée prend son destin en main. - La Prof : une vie bien mal récompensée. |
Noir à l'Ouest |
Soliloques |
Quel rapport, direz-vous, peut-il bien y avoir entre un maître confronté à son chien, un conducteur face à une auto-stoppeuse bien jolie, un médecin d’ONG qui retrouve son amour de jeunesse, une veuve aux derniers jours de sa vie, un jeune criminel par amour et amitié, un punk en rupture de bans familiaux, un architecte rattrapé par le destin, un lâche confronté au handicap d’une jeune aveugle…? Eh bien, à la diversité de ces situations répond une unité formelle : dans chacune de ces nouvelles, l’auteur a tenté d’entrer dans la peau d’un personnage, qu’il a laissé s’exprimer. À trois reprises, il s’est agi de personnes connues, placées par l’adversité sous les feux de l’actualité. Qu’elles lui pardonnent cette liberté ! Enfin, il a repris la main, pour prolonger ou conclure ces “soliloques” dans le journal d’une jeune fille des années 70 et l’histoire d’un SDF, inspirée d’un fait divers. |
"Passe
de Quatre" pour quatre nouvelles strictement policières mais qui se
déroulent toutes, elles aussi, à St Brieuc. C'est en effet dans cette
ville que Pierre-Alain Gasse avait créé ses enquêteurs récurrents : Bénédicte
Plassard et Simon le Lagadec, lesquels apparaissent pour la première
fois dans "Le Monte-en-l'air d'Hypokhâgne", nouvelle déjà
comprise dans "Noir à l'Ouest" mais qui ouvre aussi cette
"Passe de Quatre." |
Passe de Quatre |
Amours de Papier |
Amours de papier regroupe onze nouvelles sentimentales, sans lien préconçu, écrites par l’auteur à ses débuts dans le genre, entre 1993 et 2004. À présent réunies, elles composent une sorte d’itinéraire amoureux, depuis un supposé traumatisme d’enfance jusqu’à une dernière aventure à la lisière du fantastique. Chemin faisant, Pierre-Alain Gasse passe en revue les interrogations adolescentes, une "première fois" dans l’effervescence de Mai 68, les amours manquées de la jeunesse, celles retrouvées du trentenaire, les fantasmes de l’âge adulte, le démon de midi et les frustrations de la cinquantaine. |
Voyager, pour l'écrivain, c'est se dépayser, découvrir lieux et gens, mais aussi nourrir son imaginaire. Et lorsqu'un projet se dessine, qu'une histoire prend corps, lorsque vient le moment de situer les héros dans un espace, de les immerger dans une culture, de leur donner des noms, des visages, des habitudes, par un mystérieux travail d'association, des images reviennent se former sur la rétine. Ou peut-être est-ce l'inverse : des images fortes, prégnantes s'imposent comme décor nécessaire à une histoire qu'elles vous demandent de raconter. Voilà pourquoi aujourd'hui l'auteur vous emmène de Prague à Sydney. Vous laisserez-vous prendre par l'atmosphère de ces lieux, par l'histoire qui s'y déroule ? Par les deux, espère-t-il, mais après tout, il s'agit simplement de vous distraire. |
![]() De Prague à Sydney |
Portraits |
Fruits
d'une pure invention, nés de souvenirs recomposés ou résultats d'expériences
personnelles, les douze portraits que voici sont comme le kaléidoscope
d'un voyage au fil d'une existence. La joie, l'amour, la mort s'y côtoient
comme dans celle de chacun d'entre nous. Ils se sont empilés, au cours
des dix dernières années, qui ont vu l'auteur passer de la cinquantaine
à la soixantaine, et rien n'a été changé à l'ordre de leur naissance.
Ils parlent de deuils, de la nostalgie, de secrets révélés, de peurs
d'avenir, tout comme des joies d'amours enfin assumés, de petits-enfants
aussi étonnés qu'étonnants, et portent un regard plus distancié
qu'autrefois, peut-être, sur le monde alentour... |
Passant
en revue mes recueils précédents et une fois écartés quelques textes
de circonstance, mal écrits ou trop éloignés du genre, est apparue une
douzaine d'histoires laissées pour compte. Qu'elles soient dramatiques
comme « Le Testament », « Reverrons-nous jamais la Drenica ? », « La
Dernière fois » ou « Cours, Diego, cours... », noires et policières
comme « Retour perdant », « Mort d'un Baiseur » ou « Bonne Nouvelle
», hommages à des artistes admirés comme « La Montre de Montiel », «
Le dernier combat de M. K. » ou « Mutatis Mutandis » ou plus rétives
à la catégorisation comme « Angoisse... » ou « Km 1500 », par leur
sujet ou leur date de création, elles se sont retrouvées isolées et
n'avaient pu prendre place dans les thématiques précédentes. Les voilà
aujourd'hui réunies en un bouquet composite... |
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Le
titre de ce recueil annonce la couleur et elle est double. Vous êtes
d'humeur badine, la chance ou l'Amour vous sourient et vous voyez la vie
en rose ; le sort vous malmène, votre quotidien s'enlise et vous
broyez du noir. Ainsi y a-t-il, dans ma production des trois dernières
années, du rose et du noir. De l'humour, du sentiment, du clin d'œil, de
la parodie, d'une part ; et puis de la tristesse, de l'amertume, et même
de l'horreur. Les hasards de la création ont voulu que ces textes -
billets ou nouvelles - naissent en alternance. C'est ainsi qu'ils vous
sont livrés. |
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Ma
carrière professionnelle m'a donné la chance de
découvrir nombre d'œuvres d'art d'outre-Pyrénées, dans plusieurs
domaines. Et, parmi ceux-ci, c'est sans doute la peinture qui m'a donné
le plus de joies. Cherchant, il y a quelques mois, à bâtir un recueil thématique,
l'idée m'est venue de partir de l'anecdote d'un tableau espagnol célèbre
pour imaginer une histoire. C'est ainsi que sont nées les sept nouvelles
de ce mini-recueil, inspirées par des œuvres maîtresses de Diego de Velázquez,
Bartolomé Murillo, Francisco de Goya, Santiago Rusiñol, Joaquín Sorolla,
Pablo Picasso et Salvador Dalí, et couvrant trois siècles et demi de
peinture espagnole. Le choix opéré est tout à fait arbitraire et ne répond
qu'à deux critères : mon goût personnel pour ces œuvres et
les ressorts qu'elles ont pu fournir à mon imagination. Partagerez-vous
avec quelque plaisir cet imaginaire ? C'est ce que j'espère. |
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Voilà trois années pleines, depuis « En rose et noir », hormis le recueil thématique « Dans l'ombre de Salvador », que je n’avais pas regroupé en recueil mes productions. Il m’a semblé que le temps était venu d’y procéder encore. Je vous livre donc un bouquet de textes – treize à la douzaine – regroupant plusieurs genres, dont deux nouveaux. Ainsi cet assemblage s’ouvrira-t-il par une nouvelle historique pour se fermer avec deux textes pour enfants. Entre ces extrêmes, vous trouverez quatre nouvelles noires et six auto-fictions dont une moitié ravive un passé révolu et l’autre consigne un passé récent.
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Dans les six nouvelles de ce recueil, de longueurs, de thèmes et de tons différents,je vous invite à un vagabondage littéraire à travers la France des villages remarquables. À Gerberoy (Oise), nous vivrons la recherche de l’âme sœur d’une jeune fille bien née aux prises avec un lourd secret. À Locronan (Finistère), au XIXe siècle, je vous conterai les mésaventures d’un voyeur, dans une Bretagne encore très religieuse. Nous sourirons aux amours de Sylvestre Courtecuisse et d’Éléonore de Montmirail dans le château de Gargilesse (Indre). Nous tremblerons avec Annelore et ses enfants, dans Collonges-la-Rouge (Corrèze) confrontée aux agissements d’un dangereux criminel. Je vous emporterai avec Constantin Lartigue dans la quête impossible du Trésor des Templiers, dans les alentours de Domme (Dordogne). Enfin, je vous ferai partager la crise existentielle d’un quadragénaire, égaré dans la petite cité médiévale de Pérouges (Ain). Tout cela dans mon style habituel, mélange de classicisme et de modernité,que j'ai voulu empreint d’humanité, mais aussi d’humour. |
Llors de la rédaction de l’ouvrage « Pordic et la Grande Guerre », publié en 2015, au vu des lettres de poilus confiées, m’était venue l’idée d’écrire une fiction documentaire sur la vie de ces soldats de 14-18. Des documents complémentaires sur l’un de ces héros Pordicais anonymes nous ayant été confiés, ce projet a pu devenir réalité. À l’aide des informations disponibles sur Internet, il ne m’a pas été trop difficile de reconstituer, pour l’essentiel, et d’imaginer, pour ce qui manquait, le bref parcours de ce simple soldat, parti, le 7 août 1914, de la caserne de Cherbourg où il effectuait son service militaire, pour tomber au champ d’honneur, quinze jours plus tard, devant le village de Rossignol, en Gaume belge. Sa destinée cruelle nous rappelle que le 22 août 1914 a vu notre armée perdre en une seule journée plus de 25 000 hommes sur le front des Ardennes belges. Les historiens en ont analysé les causes multiples. Je ne me suis intéressé qu’au destin d’un homme, en application du devoir de mémoire.
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